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Ce qui t'empêche de développer ton activité de recruteur indépendant...

#freelancing #independant #entreprise #entreprendre #peur #contraintes

7 octobre 2020

Hello, Hello 👋 Je m'appelle Amélie et je suis recruteuse freelance. Avec Happy Recruteur, j'accompagne également les recruteurs qui souhaitent se lancer dans l'aventure en travaillent sur les sujets de prospection et de gestion client notamment.

Mener une activité alignée avec ses valeurs en parfaite autonomie, c'est un petit peu un rêve pour beaucoup d'entre nous. Allier le business à un total épanouissement, c'est quelque chose qui me tient à coeur dans mon entreprise, et j'imagine que c'est également le cas pour toi ! Cependant, l'aventure peut être longue, périlleuse et semée d'embuches. On découvre tout de suite les 3 inconvénients qui t'empêche de développer ton activité de recruteur indépendant ...

 Tu es perdu pour ta future activité de recruteur à ton compte ?

🥳 J'ai créé un guide pour recruteur indépendant qui récapitule l'intégralité des systèmes de facturation (succès, forfait, TJM), la création d'une offre, la prospection, le lancement... et tout cela à petit prix!

🍿 1. "Travailler seul(e)"

Le sentiment de solitude, c'est un gros sujet en freelance. Ce n'est jamais facile d'encaisser les fins de missions, la prospection, les clients chiants, les coups durs, ... Ça peut être usant à la longue ! Devenir freelance, c'est aussi prendre conscience d'être souvent dans la solitude, sans équipe, sans soutien et c'est pesant.

Personnellement, j’aime être seule, travailler seule. C’est une situation que je vis plutôt (pas tous les jours non plus!) bien, qui me ressource et me permet d’être plus focus sur mes projets sur la partie professionnelle. Mais pour avancer dans ton business et ton activité, tu dois t'entourer d'autres personnes et ça j'ai mis plus d'un an à le comprendre... Ensemble, on va tellement plus loin !

Ce que tu peux faire :

〰️ Travailler avec tes clients en présentiel, aussi appelé RPO.

〰️ Travailler avec tes clients au TJM et avoir (un peu) l'impression de rejoindre une team.

〰️ Travailler dans des coworkings/cafés. Que ce soit pour prendre l’air, pour sortir, pour être dans une ambiance de travail particulière, le coworking est vraiment génial. Il permet de se mettre dans un état d'esprit productif. Je conseille au minimum une fois/semaine si comme moi tu es en 100% télétravail et que ta tête explose quand tu restes 3 jours de suite chez toi 🤯.

〰️ Trouver un "business friend". On se sent moins seul, plus motivé, on partage nos projets, nos doutes, nos victoires) = Le bonheur.

〰️ Se donner rendez-vous avec un collègue freelance (pas forcément du même métier) pour une session de travail à la maison. C'est une idée originale que j'ai trouvée sur un blog d'une américaine !

〰️ Faire du télétravail en couple (ça c'est mon quotidien et c'est vraiment chouette!)

〰️ La musique. La première manifestation de la solitude est le silence. Pour lutter contre ce fléau, je passe mes journées en musique : playlist qui bouge, qui apaise ou qui favorise ma concentration, à chaque humeur, moment de la journée ou projet, je mets le fond sonore qui va bien. 🎶

〰️ Le réseau. En tant que freelance, nous faisons régulièrement face à des questions (litige avec un client, chiffrage d’un devis, démarches administratives, et j’en passe) et dans ces cas-là, pas de collègue ou de patron pour régler ça à notre place ! Alors, je fais souvent appel à des connaissances, à mon réseau pour m'aider dans ces problématiques. Tu peux également te mettre sur le channel #recruteurfreelance de RK !

🍿 2. "Avoir toujours un mindset salarié"

Ce que je disais avant : "Non, mais laisse tomber, ce client, c'était une horreur, j'ai mis fin à la mission, c'était de sa faute, ça s'est mal passé".

Ce que je dis depuis : "Je me suis trompée, j'en prends la responsabilité, c'est de ma faute. Je n'aurais pas du accepter ce client qui ne correspond pas à mes valeurs, qui ne me paye pas au juste prix. Je n'ai pas suivi ma première intuition qui était négative (quand y'a un doute, y'a pas de doute, cela marche aussi avec les clients)".

C'est de sa faute = mindset de salarié.

C'est de ma faute = mindset de freelance.

Quand tu es en CDI, les problèmes viennent (toujours, hein 😉) de ton employeur, mais quand tu es à ton compte, et que tu as des soucis (ça veut dire très souvent) c'est ta responsabilité. Et c'est à toi seul d'assumer les erreurs. Pourquoi ? 

Parce que tu as fait un choix. Et s'il y a un problème, c'est que tu as fait le mauvais choix, il n'y a pas d'autres explications. Cela veut dire que dans ton processus, il y a quelque chose qui a été loupé et tu en es entièrement responsable. Cela peut être dur à entendre, mais ce n'est pas grave. On a tous foiré des missions et c'est comme ça. Par contre, une fois que tu as compris ce principe, tu auras beaucoup moins de problèmes parce que tu vas comprendre que chaque choix implique une responsabilité.

Ce que tu peux faire :

〰️ Filtrer tes clients, c'est la base. 🚩Définis à l'avance tes "redflags" qui te font dire "Non, lui ça va être que des problèmes". Sois autant exigeant avec un candidat qu'avec un client. Tu peux par exemple mettre en place une grille de notation prospects ou un questionnaire selon ton business.

🍿 3. Les revenus irréguliers.

Quitter le confort du salariat pour se lancer en indépendant, c'est aussi synonyme de prise de risque. Et notamment de risque financier. Le salaire fixe qui tombe chaque mois continuellement, c'est fini. Il va falloir prévoir ses revenus et combattre l'irrégularité des facturations.

Ce que tu peux faire pour arranger cette situation :

1) Connaitre précisément tes dépenses : CFE, impôts, charges, outils, ... Tu dois savoir les moindres euros qui sortent de ta poche chaque mois. Tu as plusieurs choix, soit tu fais tout à la main, soit tu utilises Freebe comme moi (je t'offre 2 mois sur ton abonnement avec le code HAPPYRECRUTEUR à mettre dès l'inscription sur le site).

2) Comparer avec le CA de l'année précédente (Si tu as une N+1) . Tu vas t’appuyer sur tes revenus de l’année précédente pour faire une projection de l’année à venir. À toi de voir si l’année qui précède a été compliquée (coucou Covid-19) ou au contraire florissante, pour l’ajuster et te faire tes projections chiffrées.

3) Les compléments de revenus. Est-ce que tu as remarqué que beaucoup de recruteurs indépendants deviennent coach de carrière, créent des formations, font de la mise en relation, ect... ? Pourquoi ils lancent ces projets à ton avis ? 🤔

🙋🏻‍♀️Ma réponse : Pour l'épanouissement, l'accomplissement, la visibilité ... mais aussi pour combattre l'irrégularité des rentrées d'argent de notre métier.

4) "Les premières années, on dépense le minimum et on met de côté le maximum" (je pourrais en faire une chanson, non ? 🎶). Le maître mot quand tu penses à réduire tes dépenses ce n’est pas “supprimer”, c’est “remplacer :

〰️ Prendre des outils moins chers mais tout autant qualitatifs.

〰️ Changer de fournisseurs ou négocier des prix plus bas.

〰️ Augmenter tes tarifs ou concevoir des prestations / produits où tu auras plus de marge.

〰️ Avoir une ou plusieurs prestations numériques – tu créer une fois et tu vends X fois et tu automatises la vente.

〰️ Tu te trouves de nouveaux partenaires, qui peuvent parler de toi ou avec lesquels tu vas concevoir des mégas prestations.

Tu vois, il y a vraiment beaucoup de choses que tu peux faire. Le plus difficile n’étant pas de le faire, mais de changer ton état d’esprit sur ton rapport à l'argent.  🧠 Pour aller plus loin :

Se former sur sa relation avec l'argent, un bon début est le livre "Père riche, Père pauvre" de Robert Kiyosaki.

Tu vois d'autres inconvénients

de recruteurs freelances ? 🙌

À très vite,

Amélie, créatrice d'Happy Recruteur

Mon dernier projet à découvrir ? "Le Guide du Recruteur indépendant" à petit prix !

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